Questions générales :
Quel est le genre de cet œuvre ?: roman autobiographique – roman à thèse – roman policier.
- Quelle est sa date de parution ?: 1282 – 1829 – 1830.
- Quelle est la thèse défendue ?: l’application de la peine capitale – l’abolition d la peine capitale – la défense de la peine capitale.
- Quelle est la visée des textes de ce roman ? visée argumentative – visée narrative – visée informative.
- Quelle est l’heure de l’exécution ?: deux heures – trois heures – quatre heures.
- Le narrateur est : un força – un galérien – un condamné à mort.
- Quel est le premier lieu dé séjour du narrateur ?: la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville.
- A partir de quel chapitre annonce-t-on le dernier jour ?: à partir du chapitre 13 – à partir du chapitre 18 – à partir du chapitre 48.
- Comment le narrateur a-t-il décrit les spectateurs ?: gentils – malheureux – avides de sang.
- Pourquoi l’auteur n’a pas cité le prénom du condamné ?: pour rendre son roman universel – pour attirer la pitié du lecteur.
- Quel est le lieu de l’exécution ?: le palais royal – la place de grève – la tour notre Dame.
- Quel est son amour d’enfance ?: Pepa – Marie – Mery.
- Quelles sont les personnes que le narrateur a laissé derrière lui ?: deux filles et une mère- un garçon, une fille et une épouse – une fille, une femme et une mère.
- Quel est le nombre des chapitres ?: 47 – 48 – 49.
- Quelle est la date de naissance de l’auteur ?: 1815 – 1810 – 1802.
- Quelle est la date du décès de l’auteur ?: 1885 – 1887 – 1889.
- Où se trouve le narrateur ?: dans un cabinet – dans un cachot – dans un cabaret.
- A quelle peine est-il condamné ?: les galères – les travaux forcés – la mort.
- Par quelle machine sera-t-il exécuté ?: la guillotine – la chaise électrique – la potence.
- Qui va l’exécuter ?: un geôlier – un guichetier – un bourreau.
- Quelle est la situation familiale du condamné ?: veuf – marié – célibataire.
- Par quoi se caractérise la cellule du condamné ?: elle est meublée – elle est accueillante – elle est repoussante.
- Quel est le premier chapitre rédigé à la conciergerie ?: chapitre 18 – chapitre 20 – chapitre 22.
- Quel est le premier chapitre rédigé à l’hôtel de vile ?: chapitre 44 – chapitre 46 – chapitre 48.
- Quelle est l’heure de l’annonce du dernier jour ?: six heures – six heures et demie - sept heures.
- Quel est le spectacle qu’a vu le narrateur dans la cour de la prison (chapitre 13) ?: l’exécution des forçats – le ferrage des forçats – la fête des forçats.
- Pourquoi le narrateur est-il emmené à l’infirmerie ?: car il a de la fièvre – car il a mal au ventre – car il s’est évanoui.
- Qu’est-ce qu’il a entendu à l’infirmerie ?: la voix d’un oiseau – la femme d’un condamné – une jeune fille de 15 ans.
- Quel est l’âge de sa mère ?: 62 ans – 64 ans – 66 ans.
- Quelle était la durée de son procès ?: trois jours – cinq jours – six jours.
- Qui est l’un des condamnés qui ont laissé des traces dans la même cellule du condamné ?: Charles 10 – papavoine – pepita.
- Quel est l’âge du condamné qu’a rencontré le narrateur à la conciergerie ?: 50 ans – 55 ans – 60 ans.
- Qu’est-ce que le vieux condamné a pris au narrateur ?: une montre – une redingote – une chemise.
- Quelle est l’image qui fait peur au narrateur ?: l’image de la potence – l’image de Bicêtre – l’image de l’échafaud.
- Pourquoi un sous-Architect est arrivé dans la cellule du condamné ?: pour prendre des notes – pour prendre des mesures – pour interroger le narrateur.
- Comment le narrateur a-t-il caractérisé l’idée de la mort ?: elle est heureuse – elle est malheureuse – elle est jalouse.
- Combien de temps le narrateur a-t-il passé à Bicêtre ?: environ 4 semaines – environ 6 semaines – environ 8 semaines.
- Comment le narrateur a-t-il décrit Bicêtre ?: comme une masure – come une chaumière – comme une maison.
- Qu’a-t-il appris en prison ?: le jeux aux cartes – l’espagnole – l’argot.
- Que désigne l’expression « épouser la veuve » ?: être guillotiné – être pendu – être tué.
- Quelle faveur a-t-on accordé au narrateur ?: des papiers et une plume – des romans et des revus – des chemises et des pantalons.
- A quel moment ont commencé les préparatifs du départ des forçats à Toulon ?: le matin – à midi – l’après-midi.
- Par quoi ces préparatifs ont-ils commencé ?: par l’entrée d’une charrette – par l’entrée du directeur – par l’entrée des galériens.
- Qu’est-ce qui s’est passé au narrateur après avoir vu le spectacle du départ des forçats ?: il est tombé malade – il a mal à la tête – il s’est évanoui.
- Quelle est la durée du voyage des forçats ?: 23 jours – 25 jours – 27 jours.
- Qu’est-ce que le narrateur aurait dû faire lorsqu’il était à l’infirmerie ?: se suicider – se cacher – s’évader.
- Quelle est la première personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ?: un directeur – un prêtre – un guichetier.
- Comment le guichetier s’est comporté avec le narrateur ?: d’une manière agressive – d’une manière méprisante – d’une manière respectueuse.
- Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ?: le directeur – le prêtre – l’huissier.
- Qui a annoncé au narrateur le rejet de son pourvoi ?: le directeur – le prêtre – l’huissier.
- Quel est le deuxième lieu de séjour du narrateur ?: la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville.
- A quel âge le friauche a-t-il emprisonné pour la première fois ?: 6 ans – 9 ans – 17 ans.
- Le narrateur a accepté d’échanger sa redingote contre la veste du vieil homme : par peur – par charité – par insouciance.
- Qui était avec le narrateur dans sa cellule à la conciergerie ?: un bourreau – un gendarme – un guichetier.
- De qui le narrateur pense-t-il obtenir une grâce ?: du procureur général – du directeur – du roi.
- Comment le narrateur a-t-il considéré l’aumônier de la prison ?: un prêtre qui répète un discours sans âme – un prêtre qui donne de la consolation – un prêtre qui a marqué le condamné par son éloquence.
- Quel genre de prêtre réclame le narrateur ?: un prêtre menteur – un prêtre crédible – un prêtre malheureux.
- Avant d’emmener le narrateur à l’hôtel de ville : ils lui ont coupé les oreilles – ils lui ont coupé les mains – ils lui ont coupé les cheveux.
- Comment s’appelle le bourreau qui exécuterait le narrateur ?: Samson – Mardi – Mercredi.
- Comment le narrateur a-t-il considéré sa cellule à Bicêtre ?: une boîte de conserve – une boîte à merveilles – une boîte de pierre.
- Quel jeu le nouveau gendarme de la conciergerie joue-t-il ? Il joue aux cartes – il joue à la loterie – il joue au tiercé.
- Quel est l’âge de sa petite file marie ? 2 ans – 3 ans – 4 ans.
- Qu’est-ce qu’ils lui ont donné une fois arrivé à Bicêtre ?: une chemise – un pantalon – une camisole de force.
Chapitre 1 :
- Dans ce chapitre le narrateur fait une comparaison entre : le passé et le future – le passé et le présent – le présent et le futur.
- Le passé est symbole de : l’obscurité et une seule idée – la liberté et plusieurs idées – l’emprisonnement et une seule idée.
- Les deux marqueurs temporels employés sont : autrefois et maintenant – hier et aujourd’hui – autrefois et actuellement.
- « Sous les larges bras des marronniers » est : une métaphore – une antiphrase – une personnification.
- L’idée qui obsède le narrateur est : l’idée de la mort – l’idée de la liberté – l’idée de la prison.
- L’idée de la mort reparait dans les rêves du narrateur sous-forme : d’une lame – d’une épée – d’un couteau.
- Dans ce chapitre le narrateur se trouve : dans un cabinet à Bicêtre – dans un cabinet à la conciergerie – dans une cellule à Bicêtre.
Chapitre 2 :
- Quand le narrateur a-t-il condamné ?: le mois d’avril – le mois de novembre – le mois d’août.
- Les spectateurs sont décrits comme : des corbeaux – des chacals – des vampires.
- La durée de la condamnation est : 1 jour – 3 jours – 5 jours.
- Où le narrateur dort-il ?: sur un lit – sur un grabat – sur de la paille.
- Durant les premières nuits, le narrateur n’a pas pu dormir à cause : du bonheur et de la gaieté – du bonheur et de la fatigue – d’inquiétude et de terreur.
- La troisième nuit le narrateur a dormi : d’ennui et de fatigue – d’ennui et de terreur – d’ennui et de bonheur.
- Avant la proclamation du verdict, le narrateur était sûr : qu’il va être condamné à mort – qu’il va être condamné aux galères – qu’il va être libéré.
- La lumière était symbole de : la chaleur – la liberté – la mort.
- L’avocat a pensé que le narrateur sera : libéré – condamné à mort – condamné aux travaux forcés.
- Le narrateur a préféré : les galères à la mort – la mort aux galères – la mort à la liberté.
- La voiture qui l’attendait au bas de l’escalier était : blanche, propre et belle – bleue, salle et grillée – noire, sale et grillée.
- Après la proclamation du verdit, tout est devenu blanc. Cette couleur évoque : le bonheur – la sécheresse – le linceul.
Chapitre 3 :
- Dans ce chapitre le narrateur pense que : tous les hommes seront exécutés à la grève – tous les hommes sont condamnés à mort – tous les hommes seront guillotinés.
- Le narrateur regrette : d’être maltraité et battu – d’être respecté – d’être vénéré.
- Qu’est-ce qu’on donne au condamné dans sa cellule ?: du pain noir et un bouillon délicieux – du pain noir et un bouillon maigre – du pain gris et un bouillon maigre.
- Le narrateur était : éduqué – rebelle – méchant.
Chapitre 4 :
- Où le narrateur a-t-il été transféré après sa condamnation : à Bicêtre – au tribunal – à la conciergerie.
- Bicêtre, vu de loin, parait comme : une masure – un palis royal – un tombeau.
- Bicêtre, vu de près, parait comme : une masure – un palis royal – un tombeau.
- « On dirait que les murs ont une lèpre » est : une comparaison – une métaphore – une hyperbole.
Chapitre 5 :
- Une fois arrivé à Bicêtre, ils lui ont donné : un couteau – une camisole de force – une fourchette pour ses repas.
- Les premiers jours, les geôliers et les guichetiers ont traité le narrateur : avec cruauté – avec inattention – avec respect.
- Le respect des guichetiers sent : l’échafaud – le bonheur – la liberté.
- Le narrateur est : jeune et rebelle – vieux et docile – jeune et obéissant.
- Le narrateur sortit avec les autres prisonniers : une fois par semaine – deux fois par semaine – trois fois par semaine.
- Le narrateur parle aussi : en Anglais – en Latin – en Arabe.
- Le préau désigne : le café d’une prison – la cellule d’une prison – la cour d’une prison.
- Parmi les faveurs accordées au narrateur, on trouve : l’encre, des papiers, des plumes et un lit – l’encre, du papier un stylo et un bureau – l’encre, des papiers, une plume et une lampe.
- Qui signifie l’expression « rouscailler bigorne » ?: se moquer des guichetiers – perdre du temps – parler en argot.
- Le narrateur a considéré le langage argotique comme : une excroissance – la mort – la prison.
- Que désigne en argot le mot « menteuse » : l’œil – la main – la langue.
Chapitre 6 :
- Le narrateur a décidé d’écrire : son autobiographie – son journal de souffrance – ses souvenirs d’enfance.
- Pourquoi il a décidé d’écrire ?: pour que sa fille ne le déteste pas – pour moins souffrir – pour donner une leçon à ceux qui condamnent.
- Le narrateur insiste sur : les souffrances du corps – les souffrances de l’esprit – les souffrances de Marie.
- Le type de récit employé dans ce chapitre est : récit rétrospectif – monologue.
Chapitre 7 :
- Le narrateur a décidé d’écrire pour : sauver d’autres têtes – sauver sa tête – sauver le juge prêt à juger.
Chapitre 8 :
- Dans ce chapitre, le narrateur : regrette d’avoir laissé une fille sans père et sans protection – décrit son cachot – compte ce qui lui reste.
Chapitre 9 :
- Quel est l’âge et le prénom de sa fille ?: marie, deux ans – Pepa, 3 ans – marie, 3 ans.
- Quel est l’âge de sa mère ?: 60 ans – 62 ans - 64 ans.
- Sa file était : douce, brune et frêle – douce, brune et grosse – douce, rose et frêle.
- Qu’est-ce qui inquiète le narrateur ?: sa fille Marie – sa femme – sa mère.
Chapitre 10 :
- Quelle est la superficie de son cachot ?: 4 pieds carrés – 6 pieds carrés – 8 pieds carrés.
- Le lit du condamné est sous-forme : d’un grabat – d’une bote de paille – d’un banc.
- Il y a au centre de la porte, vers le haut, une ouverture de : 7 pouces carrés – 8 pouces carrés – 9 pouces carrés.
- Le narrateur est considéré par les curieux qui venaient le voir comme : un être humain – un bourgeois – une bête.
Chapitre 11 :
- Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
- Parmi les images qui étaient dessinées, laquelle a-t-elle fait peur au narrateur ? la figure de Papavoine – la figure d’un chapeau à trois cornes – la figure de l’échafaud.
Chapitre 12 :
- Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
- Jean Martin est le criminel : qui a assassiné sa femme – qui a assassiné sa mère – qui a assassiné des enfants.
- Où le narrateur sera-t-il enterré ?: au cimetière de Clamart – au cimetière de Notre-Dame – au cimetière de Sidi Ali Boughaleb.
Chapitre 13 :
- Dans ce chapitre, le narrateur : est transféré à la conciergerie – décrit le prêtre – décrit les préparatifs au départ des forçats.
- Le narrateur a pensé qu’il s’agit : du ferrage des forçats – de la fête des forçats – de l’exécution des forçats.
- La cellule où est mis le narrateur est : meublée – démeublée – sans fenêtre.
- Les argousins ont été accueillis : avec des acclamations railleuses – avec des vœux – avec des applaudissements.
- Les galériens seraient transférés : à Toulon – à la conciergerie – à Bicêtre.
- Les galériens sont sortis après l’ordre de : monsieur le directeur – monsieur l’inspecteur – monsieur le procureur du roi.
- Les prisonniers-spectateurs ont accueilli les galériens : avec acclamations et applaudissements – avec menaces – avec insultes et imprécations.
- Le jeune galérien de 17 ans fait la roue sur lui-même avec agilité : d’un tigre – d’une gazelle – d’un serpent.
- La plupart des galériens avaient des chapeaux en : paille – cuir – tissu.
- La première scène de ce spectacle était : le ferrage – le repas – la visite des médecins.
- Parmi les excuses sanitaires que donnent les galériens : oreille mutilée – main mutilée – pied mutilé.
- Au moment où les galériens commencent à se déshabiller : un galérien est décédé – une pluie commence à tomber – les argousins les battent avec violence.
- Qui s’occupe du ferrage des forçats ?: le directeur de la prison – les argousins supérieurs – les forgerons de la chiourme.
- Les deux forgerons étaient armés : de chaînes – de cordes – d’enclumes.
- Après leur ferrage, les forçats commencent à : pleurer – chanter – se lamenter.
- La dernière scène de ce spectacle est : le repas – la visite des médecins – la visite des geôliers.
- Le narrateur s’est évanoui car il lui a semblé : que les forçats ont assailli sa cellule – qu’il était avec les forçats dans la cour – qu’il était ferré.
Chapitre 14 :
- Le condamné a été transporté : à la conciergerie – à la place de grève – à l’infirmerie.
- Le narrateur étant dans un lit d’hôpital, sentait : une sensation de froid – une sensation de chaleur – un sentiment de dégoût.
- Ce qui a éveillé le narrateur c’était : la chanson d’une jeune fille – les infirmiers pressés autour de son chevet – le bruit des charrettes qui transportaient les galériens.
- Le nombre des charrettes, chargés des forçats, est : 3 charrettes – 5 charrettes – 7 charrettes.
- Ce jour-là, il y avait : de la pluie – du soleil splendide – de la neige.
- Un horrible dialogue s’est établi entre les forçats et : les argousins – les postillons – la foule.
- Dans la 6ème charrette, il y a : le directeur, l’inspecteur et les argousins – des enclumes et des marteaux – des chaudières, des gamelles et des chaînes.
- Le narrateur a préféré : le couteau de la guillotine au carcan de la chiourme – les galères à la mort – les galères à la potence.
Chapitre 15 :
- Le narrateur a une maladie : contagieuse – bénigne – mortelle.
- Quelle est l’idée qui torture le narrateur après avoir quitté l’infirmerie ?: il aurait dû se cacher – il aurait dû s’évader - il aurait dû se suicider.
- « le pourvoi, est une corde qui vous tient suspendu qu-dessus de l’abîme » est : une comparaison – une hyperbole – une métaphore.
- Le narrateur est sûr : qu’il serait libéré – qu’il serait gracié – que son pourvoi serait rejeté.
- Les trois pas qu’il va faire sont : Bicêtre, la conciergerie et l’hôtel de ville – Bicêtre, l’hôtel de ville et la place de grève - Bicêtre, le tribunal et l’hôtel de ville.
Chapitre 16 :
- Lorsque le narrateur était à l’infirmerie, il a entendu : une jeune fille – un oiseau – une infirmière.
- La chanson était en langage : soutenu – argotique – courant.
- La chanson parlait : d’un assassin condamné à mort – d’un assassin condamné aux galères – d’un voleur qui était libéré.
- La jeune fille avait : 14 ans – 15 ans – 16 ans.
Chapitre 17 :
- Le narrateur imagine : le sommeil – le retour à son enfance – l’évasion.
- Qu’est-ce qui a empêché de réaliser son rêve ?: un gendarme – la rivière – le mur épais.
Chapitre 18 :
- La personne qui a visité le condamné est : Le directeur – le guichetier – le prêtre.
- Le visiteur a traité le narrateur avec : respect – raillerie – inattention.
- Quel est le sentiment du narrateur ?: le bonheur – la peur – la tristesse.
Chapitre 19 :
- Quelle est la deuxième personne qui a visité le narrateur ? le directeur – le guichetier – le prêtre.
Chapitre 20 :
- Le narrateur pense que : la prison est une espèce d’être complet et indivisible – tout autour de lui est prison – la prison est sous toutes les formes.
Chapitre 21 :
- Le prêtre est : un jeune homme à tête noire – un vieillard à tête blanche – un jeune homme à tête blanche.
- La deuxième personne qui est entrée après le prêtre est : l’huissier – l’inspecteur – le procureur du roi.
- Cette dernière personne a annoncé au narrateur : qu’il serait libéré – qu’il était condamné aux galères – qu’il serait exécuté ce jour-là.
Chapitre 22 :
- A quelle heure le narrateur a-t-il été transféré à la conciergerie ?: à 06:30 – à 07:30 – à 08:30.
- Combien de personnes ont-ils accompagné le narrateur ?: 6 – 7 – 8 personnes.
- Ce jour-là, il y avait : de la neige – du soleil – de la pluie.
- Dans le compartiment de devant, sont montés : le prêtre et un gendarme – l’huissier et un gendarme – deux gendarmes.
- L’inscription qui est gravée au-dessus de la porte de Bicêtre est : hôpital de fous – palais de Bicêtre – hospice de la vieillesse.
- L’huissier a perdu : son tabac – son chapeau – sa montre.
- A quelle heure sont-ils arrivés à la conciergerie ?: à 08:30 – à 09:30 – à 10:30.
Chapitre 23 :
- Le narrateur a été mis dans : une cellule – dans un cachot – dans un cabinet.
- Qui était avec le narrateur dans le même cabinet ?: un friauche – un forçat – un fou.
- Le nouveau condamné avait : 55 ans – 53 – 51 ans.
- Le nouveau condamné était : ridé, jeune et maigre – jeune, gros et grisonnant – ridé, voûté et grisonnant.
- A quel âge le nouveau condamné était-il déjà sans parents ?: à 6 ans – à 7 ans – à 9 ans.
- A quel âge le friauche a-t-il été emprisonné pour la première fois ?: de 15 ans jusqu’à 32 ans – de 17 ans jusqu’à 30 ans – de 17 ans jusqu’à 32 ans.
- Lorsque le friauche a été libéré, ils lui ont donné : 65 francs – 66 francs – 67 francs.
- Ils lui ont donné également : un passeport jaune – un passeport rouge – un passeport vert.
- Qu’est-ce que le friauche a-t-il volé pour mériter les galères à perpétuité ?: une montre – un manteau – du pain.
- Après avoir été condamné aux galères à perpétuité, le friauche : s’est suicidé – s’est gracié – s’est évadé.
- Quelle est la dernière peine laquelle le friauche est-il condamné ?: la mort – les galères – la prison de 50 ans.
- Le friauche a demandé au narrateur sa redingote : parce qu’il fait froid – pour la donner aux geôliers – pour la vendre et acheter du tabac.
Chapitre 24 :
- Le narrateur a donné sa redingote au narrateur : par insouciance – par charité – par peur.
- Le narrateur avoue qu’il est devenu : méchant – gentil – respectueux.
Chapitre 25 :
- Où ont-ils amené le narrateur ?: dans une cellule – dans un cabinet – dans une chambre très vaste.
- A partir du chapitre 24, où le friauche a-t-il été conduit ?: à une autre cellule – à la grève – à Bicêtre.
- Un gendarme s’est installé dans la même cellule du narrateur : de peur que ce dernier s’évade – de peur que ce dernier écrive un placet au roi – de peur que ce dernier se suicide.
Chapitre 26 :
- Où le narrateur sera-t-il enterré ?: à Bicêtre – à Clamart – à la place de grève.
- Combien lui reste-t-il pour la mort ?: 4 heures – 6 heures – 8 heures.
- A qui le narrateur adresse-t-il ses paroles ?: à sa fille Marie – au directeur de la prison – au roi.
- Le narrateur décrit sa fille Marie (description physique) : de façon favorable – de façon valorisante – de façons dévalorisante.
Chapitre 27 :
- La chose dont le narrateur parle et qui est effroyable est : la mort – la place de grève – la guillotine.
Chapitre 28 :
- Un jour, le narrateur a vu l’échafaud, c’était vers : 10 heures – 10 heures et demie – 11 heures.
Chapitre 29 :
- Le narrateur espère : la grâce – la prison de 25 ans – l’évasion.
- Le narrateur préfère : la guillotine aux galères – les galères à la liberté – les galères à la mort.
Chapitre 30 :
- La personne qui est entrée dans la cellule du narrateur est : le directeur – un guichetier – le prêtre.
- Comment le narrateur a-t-il considéré le narrateur ?: come un croyant pratiquant – comme un véritable croyant – comme un impie.
- Le narrateur a trouvé les paroles du prêtre : sans influence – sincères – consolantes.
- Le narrateur réclame : un prêtre menteur – un prêtre sincère – un prêtre méchant.
- « C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais » est : une hyperbole – une métaphore – une antithèse.
- On lui a apporté de la nourriture. Il s’agit : d’un poulet et autre chose – de la viande et autre chose – d’un ragoût et autre chose.
- Le narrateur n’a pas pu manger car : la nourriture lui a paru fétide – il pense à la mort – il n’avait pas faim.
Chapitre 31 :
- La personne qui est entré dans sa cellule est : un prêtre – un sous-architecte – un gendarme.
- Une personne est entrée dans la cellule du condamné pour : demander sa redingote – le surveiller – prendre des mesures.
Chapitre 32 :
- Le registre employé dans ce chapitre est : comique – lyrique – tragique.
- Le nouveau gendarme joue : aux cartes – au tiercé – à la loterie.
- Le nouveau gendarme a demandé au narrateur : 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros.
- Le narrateur a promis au nouveau gendarme : 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros.
- Quelle était la condition du narrateur ?: le gendarme doit payer une somme d’argent – le gendarme doit le libérer – le gendarme doit changer d’habits avec lui.
Chapitre 33 :
- Le ton employé dans ce chapitre est : comique – lyrique – tragique.
- Son amoureuse d’enfance s’appelait : Sophie – Pepa – Marie.
Chapitre 34 :
- Le narrateur veut : se libérer – se cacher – se repentir.
- « Ma belle jeunesse ! Étoffe dorée dont l’extrémité est sanglante » est : une comparaison – une périphrase – une métaphore.
Chapitre 35 :
- Le narrateur imagine : les tortures qui se trouvent autour de lui – la liberté qui se trouve autour de lui – les prisonniers qui se trouvent autour de lui.
Chapitre 36 :
- Le narrateur évoque le souvenir : de sa fille Marie – des trois jours de condamnation – du bourdon de Notre-Dame.
Chapitre 37 :
- L’hôtel de ville se trouve de plain-pied avec : la conciergerie – la place de grève – le palais de justice.
Chapitre 38 :
- Le narrateur a : des tressaillements convulsifs – mal au ventre – une main mutilée.
- Combien lui reste-t-il pour la mort : deux heures – deus heures et demie – deux heures et 45 minutes.
Chapitre 39 :
- Qu’est-ce que les autres pensent ?: que la mort de cette façon est simple – que la mort de cette façon est douloureuse – que la guillotine cause de la douleur.
- Parmi ceux qui étaient guillotinés, le narrateur a cité : Charles 10 et Papavoine – Robespierre et Louis 16 – Casting et Modespierre.
Chapitre 40 :
- Le narrateur espère la grâce : du directeur – du prêtre – du roi.
- Le narrateur espère la grâce de : Louis 16 – Charles 10 – Robespierre.
- « Avec cette différence qu’il est aussi haut que tu es bas » est : une antithèse – une antiphrase – un oxymore.
Chapitre 41 :
- Le narrateur imagine : l’échafaud entouré par la foule – ce qui se passera après sa mort – la guillotine et ses valets.
Chapitre 42 :
- « Je l’ai prié de me laisser dormir », « l’ » remplace : le directeur – le guichetier – le prêtre.
- Le narrateur a fait : du sport – le ménage – un rêve.
- Combien le narrateur a-t-il dormi ?: une heure – deux heures – trois heures.
- Au moment où le narrateur s’est réveillé, l’aumônier : lisait un livre – lisait un journal – lisait des prières.
- Dans son rêve, qu’est-ce que le narrateur a mis sous le menton de la vieille ?: une lampe – un couteau – une bougie.
Chapitre 43 :
- Pourquoi la mère n’est pas venue avec sa fille ?: car elle n’a pas voulu voir son mari – car elle déteste son mari – car elle était malade.
- Le registre employé dans ce chapitre est : pathétique – comique – lyrique.
- Marie a appelé son père : papa – mon père – monsieur.
- Marie pense que : son père est au travail – son père est déjà mort – son père est à la maison.
- La fille du narrateur lisait : une feuille qui contient des fables – la sentence de mort de son père – une page du « dernier jour d’un condamné ».
Chapitre 44 :
- «…à la foule sur le pont, à la foule sur le quai, à la foule aux fenêtres… » est : une métaphore – une hyperbole – une anaphore.
- Combien de temps reste-t-il à l’exécution ?: 1 heure – 2 heures – 3 heures.
Chapitre 45 :
- Le narrateur pense qu’il y a sur un certain point de la grève : un piège – un clochet – une pendule.
Chapitre 46 :
- Le narrateur pense : au roi Charles 10 – au roi Charles 11 – à sa fille Marie.
- Le narrateur a décidé d’écrire : un placet au roi – son histoire à sa fille – son journal de souffrance.
Chapitre 48 :
- Ce chapitre est rédigé : à l’hôtel de ville – à la conciergerie – au palais de justice.
- « l’horrible peuple qui aboie » est : une métaphore – une hyperbole – une personnification.
- Le bourreau a : 2 valets – 3 valets – 4 valets.
- Le valet du bourreau s’appelle : lundi – mardi – mercredi.
- Le narrateur a décrit les spectateurs comme : cruel et avides – gentils et respectueux – triste et en colère.
- « Cet atroce éloge » est : une métaphore – antithèse – oxymore.
- « La place a éclaté en brui »t est : métaphore – oxymore – métonymie.
Chapitre 49 :
- Le narrateur demande : la mort – le soutien moral – la grâce.
- Le narrateur est présenté dans une attitude : suppliante – de courage – d’insouciance.
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